Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

La culture urbaine est elle indispenssable au dévloppement d'une ville?

3 février 2014

Le 3D s'invite dans les rues

Des dessins à même le sol qui donnent l'impression d'être en 3D. Ces nouveaux trompes l'œil réalisés par des artistes de rue sont impressionnants.

Ce procédé, appelé "anamorphose", exige de voir le dessin sous un certain angle pour que l'effet "3D" apparaisse et que l'image cesse d'être déformée. Ce phénomène artistique, basé sur l'illusion d'optique se développe partout dans le monde, de Londres à l'Espagne en passant par Denver ou New York.

L’idée est simple, créer de la perspective là où il n’y en a pas. Ce type d’art se développe de plus en plus depuis quelques années, mettant sur le devant de la scène des artistes comme Edgar Müller, Manfred Stader ou encore Tracy Lee Stum. On voit également des boites comme Street Advertising Service émerger avec pour coeur de compétence la réalisation publicitaire d’oeuvres de ce type.

Waterfall-Amsterdam-Airport

sweep_banksy

Sources : http://www.huffingtonpost.fr/2012/08/08/3d-street-art-illusion-optique_n_1759636.html

http://ungarsordinaire.com/2011/09/art-de-rue-entre-peinture-3d-et-effet-doptique-35-photos/

 Résumé : Cet article publié en aout 2012 sur le site Le Huffington Post par Sara Gates décrit rapidement le procédé de l'anamorphose, des dessins réalisés dans les rues à mème le sol qui donne l'impression d'etre en 3D, 

Publicité
Publicité
20 janvier 2014

Une fresque version graffiti

Du 24 au 28 juin, une quinzaine de graffeurs ont réalisé cette fresque sur l’A43 en direction de Grenoble. Des grafs de jour, autorisés et même encadrés. Le personnel d’Area a veillé à la sécurité des artistes. Une démarche nouvelle qu’a engagée la société des autoroutes avec le collectif Lyonbombing. le DL / Jean-François SOUCHET

Vous l’avez peut-être aperçue sur l’A43 en direction de Grenoble, à hauteur du point kilométrique 37.5 précisément. Depuis fin juin, une fresque de 100 mètres de long trône sur le mur de soutènement le long du terre-plein central. Il faut passer à plusieurs reprises pour voir les détails de ce graffiti géant qui décline les différents sports d’hiver et la montagne.

Une réalisation bourrée de détails qui a bien sûr été faite de manière légale et sécurisée. Ou comment la très sérieuse société Area a passé un pacte avec des graffeurs… « Par expérience, le répressif ne marche pas »

L’histoire débute après que la société des Autoroutes Rhône-Alpes a une nouvelle fois procédé à l’enlèvement de dizaines de tags entre la zone commerciale de Bron et La Tour-du-Pin. Pour un coût certainement important puisqu’Area ne veut pas en communiquer le montant.

Afin que les tags ne refleurissent pas à mesure de leur effacement, la société a l’idée de monter un projet avec des graffeurs professionnels, le collectif Lyonbombing.

Un partenariat est signé : plusieurs graffeurs professionnels s’engagent à encadrer 13 autres de leurs compères afin de réaliser une fresque sur 300 m² dont le contenu a été défini avec la direction d’Area. En échange, les taggeurs d’ici et d’ailleurs ne devraient plus laisser leurs signatures sur le mobilier autoroutier.

Et effectivement, depuis fin juin, pas de trace de tags : « Par expérience, le répressif ne marche pas. Area a essayé une autre méthode », souligne Jacques Moutier de la société autoroutière. Nous avons été agréablement surpris par la motivation des graffeurs, précise Alexis Barberis du collectif Lyon bombing. Ils ont dû nous faire confiance et Area aussi, qui a mis tout en œuvre pour que tout se passe pour le mieux. Mais le graffiti de loisirs continuera d’exister, on n’arrivera jamais à l’éradiquer. »

hgf

vk

srhSource : http://www.ledauphine.com/isere-nord/2011/10/04/une-fresque-version-graffiti?image=91FF92C5-6037-4FB7-8FFD-B0CB1F9DAF28

Résumé : Cet article publié en novembre 2011 sur le site "le dauphine" explique l'initiative prise par Area qui tente d'éradiquer les tags sauvages sur l'autoroute A43 en dirrection de Grenoble avec une fresque de 100 mètres de long réalisée de jour, par des graffeurs autorisés et même encadrés.

13 janvier 2014

Qui est Banksy ?

banksy-2

 

Personnage mythique de la scène graffiti ...

 

 Introduction

Personnage mythique de la scène graffiti, Banksy est identifié comme étant un troubadour des temps modernes. Illustre artiste revendicateur, aucun fait social ne sait lui résister tant il est incisif et décoiffant dans son art. Banksy possède aujourd'hui sa place parmi les grands de ce monde par ses innombrables actes répréhensibles mais ô combien subversifs.

Il adore provoquer, choquer voire perturber la société et c'est ce qui fait toute l'importance de son oeuvre. Malgré sa capacité à transgresser les règles, il demeure à ce jour un vrai mystère puisque sa vraie identité n'a jamais été dévoilée. Selon toute vraisemblance, Banksy serait un artiste du Street art (Graffiti) originaire de Bristol, en Angleterre. Philanthrope, anti-guerre et révolutionnaire, l'artiste prends son art comme médium de communication pour scander haut et fort son mécontentement envers certains faits de société, certaines situations politiques ou carrément, certaines décisions adoptées par les leaders mondiaux. Né en principe en 1974, ce n'est qu'au cours des années 1980 qu'il commence à manier la bombe, après avoir complété une formation de boucher. Mais c'est entre 1992 et 1994 qu'il devient véritablement artiste graff, au seins d'un groupe appelé le Bristol's DrybreadZ Crew (DBZ), assistant ses collègues Kato et Tes .

Depuis les débuts de sa carrière, il utilise une combinaison originale de pochoirs et d'écrits, spécifiant apparemment lui-même qu'il n'est pas à son meilleur avec la bombe aérosol habituelle. Ce n'est cependant qu'en 2000 qu'il fait l'utilisation de pochoirs plus élaborés. Il aurait expliqué que l'idée lui était venue après avoir échappé à une poursuite policière, alors qu'il s'était caché sous un wagon de train. Selon certaines sources, son vrai nom serait Robin ou Robert Banks mais, encore une fois, rien n'est certain. Banksy tient mordicus à garder l'anonymat, tout comme l'esprit du graffiti, qui consiste en la réalisation d'oeuvres dans le plus pur secret. Son art est un mélange d'ironie, d'irrévérence, d'humour et comporte très souvent des messages très clairs, dans l'optique où ils ne sont pas interprétés au premier degré.

Les techniques qu'il emploi semblent relativement diversifiées. Bien sûr, il élabore lui-même des pochoirs très détaillés, ce qui nous permet de croire qu'il fait fréquemment usage de l'informatique pour y parvenir. Par ailleurs, dans le cadre de certaines oeuvres, il semble y avoir transposition d'images, peinture à main levée et bien sûr, une partie peinte à l'aérosol. Enfant chéri de monde artistique de par le monde et cauchemar des autorités policières, Banksy porte aussi le nom de terroriste de l'art (art terrorist) en Grande-Bretagne. Sa capacité de se faufiler en douce dans les musées et centres d'attractions publics, tout en gardant l'anonymat, en est la cause.

L'artiste bouleverse le cours normal des choses en les enjolivant, en les exagérant, en donnant à ses oeuvres une profondeur et une perspective comme nul autre n'a réussi à le faire à ce jour, à sa propre façon bien sûr. C'est intelligemment qu'il assure la gestion de son produit, c'est de manière fascinante qu'il émeut et provoque tout à la fois son public, qui en veut toujours d'avantage.

Un petit voyage au sein de son univers s'impose, question d'en apprendre un peu plus sur le personnage, le fascinateur qu'il est. Et dire que Banksy ne fait que commencer à titiller notre curiosité.sweep_banksyMauer-betlehem

banksy-soldier-and-girl-stefano-baldini
Source : http://www.decalab.fr/banksy-personnage-mythique-de-la-scene-graffiti/

Résumé : Cet article paru sur le site "décaLab" rédigé par Guillaume Nédellec décrit le talent de l'artiste de rue Bansky, de son style provoquant , ses technique diverses et de quelques une de ces oeuvres.

13 janvier 2014

Qu'est ce que la culture urbaine?

La culture urbaine révèle au grand public les jeunes talents des quartiers défavorisés des grands ensembles urbains et crée une animation attractive pour les jeunes.

 

L’expérience urbaine commence par le corps. Le corps qui habite la ville, s’y déplace, s’y expose, y marche, y danse, etc. Vivre dans une agglomération modifie les modes corporels de perception, de relation au monde et aux autres.
Le phénomène de le culture urbaine est aujourd’hui très présent dans ces quartiers, il regroupe les sports et les arts urbains. Les disciplines sont variées : danse, genres musicaux (rap, slam, hip-hop, human beat box), sports de rue (roller, skate, BMX, basket de rue, parkour, foot de rue, golf de rue…), urban photo, graffiti, etc.
Parler de la « culture urbaine », c’est, préalablement, s’entendre sur la définition du mot culture. La culture, c’est l’ensemble des activités artistiques et intellectuelles partagées par l’ensemble d’une population ayant une même langue, une même histoire, des valeurs morales partagées, des us et coutumes identiques, etc… il faut donc réfléchir sur ce qui éventuellement différenciera une culture urbaine d’une culture paysanne.
Il est nécessaire de maîtriser les termes qu’on utilise pour désigner des manifestations culturelles spécifiques aux grandes cités d’aujourd’hui ; en effet, la culture urbaine existe depuis que les populations se sont "citadinisées". A Paris, par exemple, une activité culturelle urbaine se développe dès le Moyen-âge quand apparaissent, progressivement, les foires, les théâtres, les musées, les galeries, les cabarets et, plus tard, les cinémas.
L’idée que l’on se fait aujourd’hui de la « culture urbaine » concerne surtout les nouvelles formes de pratiques culturelles (hip hop, rap, slam, graffiti, tag, etc.) et les lieux géographiques qui les ont vues naître, ainsi que les espaces dans lesquels elles s’expriment.
Or, aujourd’hui, la « culture urbaine » se mondialise. La tendance actuelle est au développement vertigineux des villes à l’échelle planétaire au détriment des campagnes qui se désertifient. Les progrès de la technologie favorisent la communication et les échanges culturels de manière rapide et efficace. Le monde est devenu un village planétaire.
En conséquence, on assiste à une homogénéisation de la pratique culturelle à l’échelle mondiale.
Au cosmopolitisme des populations urbaines correspond une diversité linguistique créatrice de nouvelles formes d’expression culturelle. Même si la communication est rendue difficile à travers l’usage de la parole, la culture urbaine invente l’échange et le dialogue a travers le langage gestuel (le rap).
En bref, la culture urbaine désigne toute manifestation d’expression de ceux que l’ensemble des médias classiques ont toujours refusé d’écouter et d’entendre. C’est pourquoi, autarcique et autonome, elle n’a pu se développer que dans la marginalité.

 

Véronique Warahena et Jonathan Dahan

Ce qu’ils en pensent

Lulutacos, adepte du Parkour : « La culture urbaine ce sont tous les arts qui viennent de la rue comme le Parkour, le graffiti ou encore le rap, le slam ».

Mala, rappeur : « La culture urbaine, c’est la culture qui vient de la rue. Cela recouvre plusieurs pratiques artistiques rap, slam, Rn’b, graph ou pratiques sportives, human beat box, danse, parkour, basket et foot de rue. »

Sambou Fofana, slameur : « C’est un ensemble de pratiques culturelles artistiques et sportives, les disciplines sont variées comme la danse, le rap, les graffiti etc.… La culture urbaine est devenue politique à partir des années 90 avec l’arrivée du hip-hop en France. »

Disiz la Peste, rappeur : « La culture urbaine est un mouvement qui ne veut pas dire grand chose. C’est une distinction entre la culture urbaine et le hip-hop. On veut associer la culture urbaine aux banlieusards alors que ce n’est pas forcément les banlieusards qui sont au centre de la culture urbaine. N’importe qui peut pratiquer la culture urbaine. »

Source : http://lyceechenneviere2010.wordpress.com/2010/03/26/qu%E2%80%99est-ce-que-la-culture-urbaine/

Résumé : Cet article paru sur le Journal du Lycée Chennevière Malézieux en mars 2010 rédigé par Omar le Chéri décrit les différents aspects de la culture urbaine en concluant par des avis de certains artistes.

13 janvier 2014

Réflexions autour des cultures urbaines

Ce document, issu du site "Journal des anthropologues" présente différents aspects de la culture urbaine ( les dirrérents sports, arts ainssi que les avantages et inconvénients de la cohabitation de cette culture avec la population urbaine) :

jda_1414_102_103_reflexions_autour_des_cultures_urbaines

Publicité
Publicité
9 décembre 2013

Définition de ville

Une ville est un milieu physique où se concentre une forte population humaine, et dont l'espace est aménagé pour faciliter et concentrer ses activités : habitat, commerce, industrie, éducation, politique, cultureetc. Les principes qui régissent la structure et l'organisation de la ville sont étudiés par la sociologie urbaine, l'urbanisme ou encore l'économie urbaine.

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ville

Résumé : Ce document est tiré de wikipédia et donne une définition simple de la ville.

Publicité
Publicité
Publicité
Publicité